Blog pour toutes et tous relatant les événements sur la vie du village de Lesdins

lundi 29 février 2016

Un obus à LESDINS


La société ORTEC a prévenu la mairie d'une découverte fortuite d'un obus sur le chantier. Il s'agit d'un obus de la première guerre mondiale, encore en parfait état, mesurant 70cm, situé sur la ligne Hindenbourg. Bien sûr les services de déminage ont été averti de cette "trouvaille" et pour éviter tout accident, l'endroit a été balisé en attendant l'enlèvement.





Le PMU à LESDINS


dimanche 28 février 2016

Encore une grande figure parmi les héros de la guerre 14/18

  • 28 février : fête du Bienheureux Père Brottier.
Né le 7 septembre 1876 à La Ferté-Saint-Cyr dans le Loir-et-Cher, il est ordonné prêtre en 1899 malgré de fortes migraines chroniques, il est d'abord professeur au collège de Pontlevoy avant que sa vocation de missionnaire ne le fasse entrer dans la Congrégation du Saint-Esprit (Spiritain), ordre séculier qui agit en Afrique de l'Ouest.
En 1903, il est vicaire à la Paroisse Saint-Louis du Sénégal, où il fonde un patronage pour s'occuper des enfants, tient une revue, L'Écho de Saint-Louis et dirige une chorale. Après un passage chez les Trappistes de Lérins, il revient à Dakar en tant que Vicaire Général et lève des fonds pour la construction de la Cathédrale du Souvenir Africain.
En 1914, il se porte volontaire pour servir comme aumônier militaire au sein du 26e Régiment d'Infanterie. Il sera décoré de la Légion d'Honneur pour faits de bravoure. En 1918, chose étonnante pour l'époque, il fonde avec Georges Clemenceau, franc maçon anticlérical, l'Union des Combattants. Mais la grande œuvre de sa vie est la Fondation des Orphelins Apprentis d'Auteuil, œuvre sociale destinée à l'accueil et à l'insertion de jeunes en difficulté. Le Père Brottier meurt le 28 février 1936 et est béatifié par le Bienheureux Pape Jean-Paul II, le 25 novembre 1984. 

Pour en savoir plus sur le Père Brottier, consulter le site des Apprentis d' Auteuil

samedi 27 février 2016

1914-1918 la famille la plus éprouvée de France

Il faut chercher dans ce récit ci-joint les raisons                               pour que l'on fasse impasse dans ces années de commémorations

Pourquoi, alors que nous fêtons le centenaire de la Grande Guerre, « l'éducation nationale », ne parle pas de cette famille comme en 1938 ?

Placard du ministère de l'Education nationale, affiché dans toutes les écoles en 1938.


Au départ, il y a Jules Ruellan et Marguerite Huet du Rivau, un couple de fervents catholiques élevés dans l'amour de la France éternelle. De leur foyer naissent dix-huit enfants. Dix frères partent pour le front, six y tombent pour la France, ce qui en fait la fratrie française ayant eu le plus de morts pendant ce conflit. Un septième mourra une dizaine d'années plus tard, victime du gazage subi pendant la guerre.
Ils sont les « les dix frères Ruellan »
La famille Ruellan est une famille bretonne de notables établie à Saint Malo, où Jules, le père, est armateur. Marguerite du Rivau, la mère, est issue d'une ancienne famille aristocrate ayant fait souche en Sarthe. Ce couple de caractère est à la fois gai et engagé.
 En 1905, au moment de la loi dite de séparation de l'Eglise et de l'Etat, Stanislas et André se retrouvent dans une manifestation de protestation. André est jugé pour avoir, d'un coup d'indignation et de colère, frappé... le cheval d'un gendarme. Condamné pour ce crime très grave à seize  francs d'amende, il refuse de payer à l'Etat ce qu'il a défendu comme revenant à Dieu et il ne purge son injuste amende que par peine de corps, par journées de prison, et encore ne s'y rend t-il pas de lui-même mais avec escorte de gendarmes...
Xavier, quant à lui, est condamné à six jours d'arrêt à la prison de St Malo pour avoir sans doute trop fermement manifesté sa réprobation à un commissaire chargé de l'exécution des inventaires.
Jean-Berchmans, pour sa part, manifeste à Paris au mois de février 1911 contre une pièce de théâtre d'un auteur qui provoquait le scandale, un déserteur qui le revendiquait. Participant à toutes les manifestations de protestation, six ou sept environ, Berchmans est arrêté  à chacune d'entre elles et conduit au poste.
Dans cette famille, tous étaient profondément royalistes. Et de ces royalistes qui s'opposent à la République anticléricale et déjà anti-chrétienne.
Dès le début de la guerre, les treize enfants qui sont encore en vie en 1914 s'engagent chacun selon sa manière. Deux des frères, émigrés en Amérique pour faire affaires, répondent aussitôt à la mobilisation générale. Abandonnant ses affaires après des années d'investissements au moment où elles allaient commencer à porter leur fruit, Stanislas abandonne tout pour rentrer en France. Quant à André, établi en Uruguay, cherche aussitôt à embarquer au plus vite pour rentrer. Tous se mobilisent.
Les trois sœurs répondent également à la mobilisation et revêtent l'habit blanc des infirmières durant toute la guerre.
Dans le journal l'Action françaises, dont les Ruellan sont des abonnés fidèles, la mort de chacun d'eux est rapportée dans la nécrologie. La guerre fait des morts et des orphelins et Charles Maurras fait à plusieurs reprises un appel aux dons à ses lecteurs, qui y répondent très généreusement, pour l'orphelinat dans le bordelais dont s'occupait Madame Xavier Ruellan. Maurras au sujet des Ruellan : « une race de braves qui avec tant de douleurs continuent avec obstination à se battre, à faire le bien, à servir ».
Morts au champ d'honneur :

  1. Bernard (1888-17 février 1915, 26 ans).
Adjudant-chef au 3èmebis des zouaves. Mort le 17 février 1915, frappé d'une balle en plein cœur, en portant secours à un camarade. Citation à l'ordre  de l'armée, médaille militaire.
Quelque temps avant sa mort, il écrit à sa sœur : « je fais le sacrifice de ma vie à la France. »
    2. André (1885-1915, 29 ans).
Sergent au 7°régiment d'infanterie coloniale, tué le 16 mai 1915. Alors qu'il mène la charge à la tête de sa section, une balle le frappe en plein front dès le début de la bataille de Verdun. Deux  citations dont une à l'ordre de l'armée, médaille militaire. 
    3. Henri (1892-1916,23 ans)
Brigadier au 7° d'artillerie, tué le 27 février 1916 étant enseveli vivant dans sa casemate lors d'un bombardement à Verdun. Citation à l'ordre de la division, médaille militaire.
    4. Louis (1878-1916,38 ans)
Capitaine au 308° d'infanterie, tué le 22 novembre 1916. Citation à l'ordre de l'armée, chevalier de la légion d'honneur.
Par son mariage avec Marguerite Denoix de Saint-Marc, Louis est le grand oncle d'un autre grand héros français, le capitaine Hélie Denoix de Saint-Marc. Celui-ci expliquera qu'il découvrit sa vocation militaire par l'exemple de ses oncles Ruellan, dans le pieux souvenir desquels il était entretenu durant sa jeunesse. Louis est le seul des frères tombés qui aura fait souche. Sa situation de père de famille nombreuse pouvait l'exempter de la guerre, dispense offerte qu'il rejeta avec mépris. Louis laissa six orphelins.
« Si la défense du pays exige de moi le sacrifice ma vie, qu'on redise sans cesse à mes enfants que deux amours terrestres ont partagé ma vie : celui de la France, et celui de ma femme et de mes enfants. »
Voici sa lettre du 21 novembre 1916, adressée à son épouse, lettre qui se révèlera être la dernière. Alors qu'à l'arrière, au Parlement se tiennent des discours défaitistes qui font plus de mal qu'un obus pour le moral des combattants, Louis écrit :
« si chacun y mettait du sien même au simple point de vue moral, s'il y avait vraiment dans le pays une vie nationale dans laquelle toutes les forces matérielles et morales de la France se concentreraient vers la guerre, ce fléau serait abrégé. Il y a encore trop de gens qui vivent en dehors du conflit auquel tous doivent prendre part suivants leur condition et leurs moyens. Ceux que la guerre n'atteint ni dans leurs intérêts, ni dans leurs affections sont portés à la trouver longue uniquement parce qu'elles gênent leur petites habitudes de vie et non pour les souffrances qu'elle engendre au point de vue général. Il y en a même qui souhaitent la prolongation de la guerre car ils n'ont jamais gagné autant d'argent. Ceux-là sont les logiciens de la théorie individualiste. Quelle réforme à apporter dans les mœurs, dans les esprits ? Et si Dieu attendait qu'elle fût accomplie pour nous accorder la victoire, nous risquerions de voir la guerre encore se prolonger de nombreuses années mais la miséricorde divine est infinie et elle s'exerce souvent sur des gens qui n'en sont pas dignes. Nous en fournissons une nouvelle preuve. Si tu savais, et tu le sais car tu me connais, combien ces discussions à la Chambre ces attitudes grotesques  des parlementaires nous donnent des nausées au fond de nos tranchées. Les cadavres des Boches nous soulèvent moins le cœur que la lecture des journaux. Quels criminels que ces misérables. Quel inconscient que ce peuple qui les supporte. Il n'est pas possible qu'après tout ce que nous avons enduré, et endureront jusqu'à la paix victorieuse, la situation intérieure se prolonge. On le sent si bien que même dans ces milieux pourris de la politique qu'on réclame un chef mais en faisant tout pour ne pas le trouver. Car il existe et nous savons où il est, d'où il vient et ce qu'il fera. Il renouera la tradition française, il reprendra l'œuvre des rois de France, père du peuple car il est leur descendant, le dépositaire de la recette que seul il peut appliquer. Ici nous ne sommes pas distraits de la situation intérieure, de l'avenir du pays, par le bruit du canon et les préoccupations constantes de la lutte. Nous faisons une guerre totale, c'est-à-dire contre aussi bien l'ennemi de l'intérieur que contre celui de l'extérieur. Notre devoir comporte les deux luttes et si je suis sur la ligne de front depuis le début c'est que ce devoir m'a paru impérieux. Cette idée du devoir, ma chère Marguerite, tu ne peux t'imaginer à quel point la guerre l'a développé en moi et me l'a fait aimer. Tu ne m'en voudras pas de te dire que j'éprouve même un plaisir, une joie intense à songer que je fais tout mon devoir sans en recevoir la moindre récompense. Etre en campagne depuis vingt-huit mois, avoir porté tous ses efforts vers l'accomplissement de son devoir et pouvoir se dire : « je n'ai sollicité aucune faveur, je n'ai reçu aucune récompense en dehors de celles que Dieu m'a données par la conscience que je faisais bien, cela, ma chérie, c'est le rêve pour une âme qui cherche sa récompense non sur la terre de la part des hommes, mais au ciel de la part de Dieu. »
    5. Jean-Berchmans (1890-1918, 27 ans)
Lieutenant du 23° des chasseurs alpins, tué le 31 mai 1918 d'une balle en plein front alors que, ayant fait coucher ses hommes dangereusement mitraillés,  il reste debout pour repérer d'où viennent les tirs qui s'abattent sur sa compagnie. Deux citations dont une à l'ordre de l'armée, chevalier de la Légion d'honneur.
    6. Julius (1873-1918, 44 ans), prêtre.
D'abord aumônier et infirmier, après avoir accompagné dans la mort tant de soldats, il emploie de nombreux moyens pour parvenir à combattre en première ligne et parvient finalement à rejoindre le 22° bataillon de chasseurs alpins où il gagne le grade de capitaine. Il saisit l'occasion d'aller au front en prenant la place d'un père de famille. Tué par un éclat d'obus à la tête presque à la fin de la guerre, le 1er octobre 1918. Quatre citations dont deux  à l'ordre de l'armée, chevalier  de la Légion d'honneur.
« De toute façon, je ne mourrai pas dans mon lit et j'espère bien voir au moins une fois le feu ». S'adressant à ses hommes : « je suis prêt à mourir pour n'importe lequel d'entre vous, mais en revanche je vous demande de m'obéir absolument »
Lors de sa dernière permission, ayant ressenti que son sacrifice serait accepté par Dieu : « nous ne nous reverrons plus ici-bas. Je sais où je vais aller et ce que je dois faire ».

Morts des suites de la guerre:
     7. Xavier (1881-1930)
Lieutenant du 223° d'artillerie, gazé par les Allemands le 1er mars 1918 à Verdun, il décède des suites de ses blessures le 8 janvier 1930 après des années de douleurs. Citation à l'ordre du corps d'armée, chevalier de la Légion d'honneur.
« Je tâche de donner l'exemple à la patrie. Je sers moi-même  la messe le dimanche et j'y communie devant mes hommes sans affectation mais surtout sans crainte. Ne suis-je pas là au milieu des miens ? Que j'ai des défauts, cela ne doit pas leur échapper. Mais que je sois franc et juste, je ne crois pas qu'on puisse le nier. (…) Je fais ce que je peux (à mes hommes) pour leur adoucir une rude campagne mais je suis strict pour le service et  la discipline. J'ai peu d'observations à faire et tâche de les faire comme il faut, c'est-à-dire la plupart du temps paternellement mais quelque fois sévèrement quand la discipline est en jeu. C'est rare, mais cela arrive. Les mauvaises têtes, s'il y en a, sont vite convaincues qu'il est de beaucoup préférable d'être bon soldat. »
     8. Auguste (+1938)
Il est le seul de la fratrie à ne pas avoir pu combattre au front en raison de son mauvais état de santé, qui s'empire durant les trois années qu'il donne pendant sa mobilisation au point de finir par être réformé à 100%. Il survivra entièrement paralysé pendant plus de vingt ans.
Les survivants :
    9. Charles.
Capitaine du 247° d'infanterie, détaché à la mission militaire française auprès de l'armée hellénique. Citation  à l'ordre de l'armée, chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre. Député d'Ille-et-Vilaine de 1919 à 1924.
«J'ai été obligé de rembarrer certains qui s'en vont raconter que les milieux réactionnaires après avoir voulu la guerre pour en finir avec la République veulent la paix pour que la République ne bénéficient pas de la victoire. Comme si la victoire pouvait être la récompense du régime qui n'a su ni préparer la guerre ni même la prévoir. Ce n'est pas la République qui aura vaincu les Boches, mais la France, toute la France, qui s'est réveillé avec les belles qualités de la race, hardiesse, courage, ténacité, enthousiasme, patriotisme… »
    10. Stanislas.
Sous-lieutenant du 129°d'infanterie. Deux citations dont une à l'ordre de l'armée, chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre. Il s'est installé depuis 1907 aux Etats-Unis qu'il quitte avec abnégation pour venir se battre au plus vite comme ses frères restés sur le sol natal.
A l'annonce de l'armistice : « C'est magnifique ! (…) Nos morts ne sont pas tombés en vain et je ne cesse de penser à la joie qui doit dilater tous les cœurs de France, surtout peut-être à l'intérieur où ces pauvres cœurs ont éprouvé tant d'angoisse depuis quatre ans et demi. Saurons-nous assez remercier Dieu nous qui ramenons notre peau au complet après l'avoir vue exposer durant tout ce temps car c'est tout de même miracle de n'y être pas resté. On peut bien le dire maintenant qu'il n'y a plus à craindre de vous faire trembler ».
Image : "L'illustration", 15 mars 1919, p. 304. Neuf des dix frères Ruellan.

vendredi 26 février 2016

Assemblée générale du Comité des Fêtes

Les membres du bureau du Comité des Fêtes ont tenu leur assemblée générale le vendredi 26 février 2016, dans la salle des fêtes de la mairie. Ils ont annoncé leur compte rendu de 2015, avec les chiffres des bénéfices et des dépenses de toutes leurs manifestations durant l'année, avec un compte équilibré. Le travail qu'ils ont accompli, avec l'aide importante des bénévoles, a pu servir à l'achat du panier de but/basket, d'un plancher qui servira pour les danses lors de la guinguette et de diverses dépenses utiles au bon fonctionnement du comité.
A la suite de la réunion, tous les membres du comité ont été réélus et applaudis.
Les prochaines dates des manifestations sont :
19 mars belote à la Maison des Associations, rue de Touraine.
27 mars chasse aux oeufs pour les fêtes de Pâques.
17 avril randonnée pédestre et cycliste.
05 mai concours de pétanque










Cours de pilates






 Suite à la démonstration gratuite de pilates la semaine dernière :

A partir du samedi 27 février 2016, des séances de pilates seront données à la Maison des Associations, rue de Touraine, de 10h30 à 11h30 chaque samedi.

Les séances sont collectives, de 4 à 12 personnes maximum.
10 euros la séance
9 euros la séance pour un forfait de 10 séances
8 euros la séance pour un forfait de 20 séances
6 euros la séance pour un forfait de 30 séances.

mardi 23 février 2016

Le petit lesdinois déclenche un roman

                                                                     Histoire de lesdins

Le titre du petit lesdinois publié en janvier 2016 a déclenché chez un lesdinois de souche, né au village l'idée de romancer sur le titre : LE PETIT LESDINOIS
Il y a certes la dénomination de notre bulletin municipal, mais il y a aussi toute une histoire sur le petit LESDINS qui nous vient de la création du canal de St Quentin par Napoléon 1er ainsi que du début de l’urbanisation des abords du canal .
C'est cette histoire que notre romancier à ses heures perdues va nous conter au travers d' un feuilleton.
Il faut se remettre dans le contexte de l'époque, la population de lesdins en 1800 comptait 286 habitants. Les limites du village ne dépassaient pas le haut de la rue de Bretagne.
Ce sera le premier essai de ce romancier qui va durant quelques semaines nous divertir .
Il ne s' agit en fait que de Hervé RICHET (pâtissier à la retraite) frère de l'ancien maire de LESDINS, qui a passé sa jeunesse au village faisant partie de la fraterie des RICHET (5 garçons,4 filles ) dans la maison qu'occupe actuellement Jean-Michel ZUBRYK.

Il faut savoir que l'auteur nous demande toute notre indulgence pour son premier roman.
Nous publierons deux épisodes par semaine, le mardi et le vendredi jusqu'à la fin de l'histoire.

Mardi 1er mars vous aurez la première publication. 

samedi 20 février 2016

Démonstration gratuite de Pilates

Ce samedi 20 février à 11H00, plusieurs participantes ont pu profiter de la démonstration gratuite de Pilates, donnée à la Maison des Associations rue de Touraine. Il s'agit de gymnastique douce, mais qui fait appel à beaucoup de muscles et qui dérouille les articulations.




mercredi 17 février 2016

des nouvelles du chien


Le blog a encore prouvé son utilité pour le bien être des lesdinois, le chien retrouvé errant ce matin, va retrouver ses maîtres qui étaient forts inquiets.


Secours, sauvegarde, qui fait quoi ?

Vous pouvez consulter, pour information en cas de danger important, le Plan de Sauvegarde Communal et le DICRM mis à la dispostion des lesdinois en mairie.





Chien perdu

Un lesdinois a recueilli ce mercredi 17 février vers 11H00 un chien errant. Peut être connaissez vous le propriétaire !!!!



samedi 13 février 2016

Séance découverte gratuite de cours de pilates

Si vous souhaitez découvrir les cours de pilates, venez assister à une séance gratuite le samedi 20 février 2016  à 11h00, rue de Touraine à la Maison des Associations.

jeudi 11 février 2016

Un maître recherche son chien

                                                         Le chien répond au nom de : IZY

jeudi 4 février 2016

Du sport pour les enfants

Le collège Anne FRANK d'HARLY propose un test de sélection pour vos enfants afin d'intégrer des sections en badminton et en handball. Le Club de tir à l'arc de FAYET propose également à vos enfants d'apprendre à manier un arc. (voir les deux affiches ci-dessous).



Appel à candidatures

Si vous vous intéressez à l'aménagement du territoire et que vous avez des idées à apporter, la Communauté d'agglomération de Saint-Quentin lance un appel à candidatures auprès du public. Pour cela, vous devez auparavant expliquer vos motivations et votre intérêt au maire.
Les bonnes idées sont les bienvenues



lundi 1 février 2016

Un festival ROCK pour une bonne oeuvre

Un petit garçon nommé Lucas est né avec une malformation de l'oreille, qui le handicape car non entendant  ainsi que par l'aspect esthétique. Une opération est lancée afin de récolter des fonds pour que Lucas puisse bénéficier d'une opération, qui se révèle compliquée mais serait réalisable aux Pays-Bas, afin de reconstruire le pavillon externe, le conduit auditif et le tympan.
Vous pouvez consulter l'adresse email : www.une-oreille-pour-lucas.fr/il-etait-une-fois/
ou simplement taper dans le moteur de recherche "une oreille pour Lucas"
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